22 janvier 2012
"Octavio Paz, 1995", poème des Saisons brûlées de Jean-Claude Masson
La ville est méconnaissable et je n'y connais plus personne. Les lieux de mon enfance ont été chamboulés : une banlieue de bric et de broc, lépreuse, interlope et qui mériterait la colère des dieux. De cette place noire on voyait le volcan que les Nahuas...